Ce port de Colombiers avait fière allure.
Ses qualités sont apparues un peu moindres lors de l'appareillage. Pas de hauteur d'eau, dans une eau boueuse et sans sondeur, cela aboutit inévitablement à un échouage. Et une fois dégagé, rebelote sur la rive opposée !!
Avant les écluses de Fonserrannes se trouve une vaste zone d'attente à laquelle nous n parvenons qu'après une lente progression dans une file de 5-6 péniches.
Inquiétude sur l'heure de passage. Mais en fait seules deux péniches doivent passer avant nous. Les autres viennent de Colombiers ou du Somaïl et en sont venues que pour voir les écluses mais sans les passer !
De toute façon nous arrivons à midi et les écluses sont fermées de 12 à 13 heures.
Accostage difficile du fait d'un vent violent qui nous empêche de virer et nous déporte bien évidemment toujours dans une direction inadéquate.
Lors de notre tour de passer, une péniche de location pilotée par un hollandais volant veux à tout prix passer nt nous ... et y arrive finalement. Il va nous pourrir la descente par ses manœuvres brutales et ses manières désagréable
Embouquer la première écluse et s'amarrer est délicat , en raison du vent qui souffle en rafales
et du fait de la surpopulation : quatre bateaux dans l'écluse, dont deux péniches, cela fait sas comble.
Franchir ces 6 écluses ne va nous prendre finalement que 1h 10 !
C'est ensuite le pont canal sur l'Orb, dont les quais sont encombrés par la préparation du feu d'artifices de ce soir.
Puis l'écluse de l'Orb, impressionnante avec ses 6,20 mètres (presque la moitié de Fonserrannes à elle seule) .
Nous longeons ensuite Béziers pour arriver ensuite à Villeneuve-lès-Béziers où Hubert Pinon a souvenir d'un restaurant près de l'écluse. Bel accostage.
Souvenir très récent d'un anniversaire de mariage sans la mariée à l'aller😏. Aujourd'hui la mariée est arrivée 😁🥳
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