N'est-ce point monotone la navigation fluviale ? Certains le pensent. Je les invite à tenter l'expérience sur le canal de Bourgogne ; les paysages y sont bucoliques, la quiétude y est garantie jusqu'à.... la panne de moteur provoquée par les algues qui colonisent le plan d'eau !
Fin de la tranquillité et il est préférable d'être un mécanicien averti et courageux ! (voir les récits antérieurs sur le blog).
En ce dimanche de fête des pères, Père Maurice a endossé sa tenue de travail, et les mains dans le cambouis a soigné les moteurs (oui sur cette fière vedette cela marche par pair ...) du pauvre Paprika agonisant.
A force de labeur, notre bon samaritain leur a redonné une nouvelle jeunesse. Les essais semblent concluants et demain sera un autre jour.
En attendant un après-midi de farniente est le bienvenu.
18h00 Carisa nous accueille à bord pour un pot d'au revoir. Demain nos chemins se sépareront ; biloup et vedette continueront leur route orphelins d'un compagnon de voyage attachant (ne voyez là nullement une allusion aux remorquages décrits dans les épisodes précédents !).
La soirée se poursuit pour les onze mariniers dans un restaurant losnais repéré lors de la phase montante du canal.
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Texte et Photos : Brigitte
Et toujours le lien vers l'album photos :
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